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Protection des Publics Fragiles

L’ensemble des membres de notre établissement est attaché au bien-être des jeunes qui nous sont confiés. Durant l’année de nombreuses interventions de sensibilisation et de prévention sont proposées aux élèves.

Toutefois si malgré notre vigilance des situations de violences ou de harcèlement devaient se produire, ne restez pas seuls, des solutions existent, n’hésitez pas à en parler !

Numéros Utiles

Victime ou témoin

Violences physiques, moqueries, harcèlement, cyberharcèlement… en parler, c’est les arrêter !

Victime ou témoin, ne restez pas seuls face à un problème de violences quel qu’en soit la nature.

Plusieurs possibilités s’offrent à vous  : 

– Parlez-en, vous n’êtes pas seuls ! Demandez de l’aide : à des camarades, à vos parents, à des adultes de l’établissement (infirmière, professeur principal, éducateur, surveillant, documentaliste, animatrice en pastorale…), ou à n’importe quel autre personne avec qui vous vous sentez en confiance.

– Vous n’osez pas en parler directement, une boîte aux lettres est présente à l’infirmerie, vous pouvez y déposer un message pour expliquer ce qui ne va pas.

– Demandez un rendez-vous au point écoute : un bouton est disponible sur votre compte élève Ecole Directe. Une conseillère familiale est sur l’établissement un jour par semaine, tout ce que vous lui direz restera confidentiel. 

– Au collège, il y a également une médiatrice en Sixième, Mme VILANOVA, vous pouvez la contacter depuis Ecole Directe.

– Des élèves du Lycée Général sont ambassadeurs contre le harcèlement. Ils interviennent sur tous les cycles pour de la prévention mais peuvent aussi servir d’intermédiaire entre vous et l’adulte.

Parents ou enseignants

Parents, enseignants, personnels de l’établissement, vous pouvez être amenés à recueillir la parole d’un enfant en souffrance. Apprenez à reconnaître les signes, ne minimisez pas ce que vivent les enfants, soyez à l’écoute et agissez en lien avec l’établissement. Des personnes sont formées pour gérer ces situations de crise.

Reconnaître les signes

Si un enfant subit de façon répétée des violences verbales et / ou morales (surnoms méchants, insultes, moqueries, brimades, rejets du groupe, etc.), des violences physiques (bousculades, coups), des vols, il est victime de harcèlement.

Lorsque ces mêmes faits se déroulent sur les réseaux sociaux, par SMS, messagerie ou par courriel, on parle de cyberharcèlement.

Les conséquences peuvent être graves :

• baisse des résultats scolaires ;
• perte de l’estime de soi ;
• décrochage scolaire ;
• profond mal-être ;
• conduites suicidaires…

Comment agir pour que cette violence ne touche plus cet enfant ou d’autres enfants

Identifiez le plus précisément possible la nature des problèmes vécus par l’enfant. Dialoguez ouvertement pour connaître : faits et éventuels auteurs et témoins. Le harcèlement est souvent constitué de petits incidents qu’il est utile de mettre par écrit afin de mieux cerner la situation. Notez la date, l’heure, les personnes présentes, la description des faits, leur répétition, les réactions de l’enfant face à cette situation. Gardez aussi les preuves éventuelles du harcèlement subi. Le cyberharcèlement est constitué de plusieurs types d’incidents : réalisez des captures d’écran des situations qui, en ligne, portent atteinte à cet enfant.

N’hésitez pas à vous faire aider en contactant l’établissement et les personnes référentes Publics Fragiles.